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La légende de Jean de Dieu Plifier, dit "Saint Plifier"
05:49

La légende de Jean de Dieu Plifier, dit "Saint Plifier"

Découvrez ce personnage légendaire... 🛒 Catalogue pour commander la statue "Saint Plifier" ➡️ http://benedictines-dourgne.org/divers/Catalogue_Moulages_2020.pdf ℹ️ + d'infos ➡️https://mesnilvoysin.wixsite.com/acceuil/saint-plifier 𝓢𝓪𝓲𝓷𝓽 𝓟𝓵𝓲𝓯𝓲𝓮𝓻, 𝓼𝓪 𝓵𝓮𝓰𝓮𝓷𝓭𝓮 Saint Plifier aidez-nous… 💠 Jean de Dieu Plifier, quatrième d’une fratrie de cinq enfants, est né près de Pechpeyrou, en 1632 d’une famille de petite noblesse du Sud-Ouest. En 1651 lors de la guerre de Picardie, Saint Vincent de Paul (1581-1660) sensibilise le jeune cadet âgé alors de 19 ans, à la misère de son temps. L’Ecole de Spiritualité Française avec Pierre de Bérulle et Agnès de Langeac mûrit sa réflexion. Pendant La Fronde, il accompagnera Mazarin et Louis XIV au Mesnil-Cornuel le 28 Mai 1652 lors du siège d’Etampes, puis à Guermantes le 27 juin de la même année. Conforté par une culture généreuse, ce soldat-bâtisseur à l’esprit pratique, passionné d’harmonie et de relations simples, détricote la complexité pour servir. Deux phares l’illuminent, la cohérence et l’amour trinitaire. Remarqué par Vauban dès 1664 à Brisach, il restera son ami et confident jusqu’à sa mort le 16 Octobre 1706, à l’âge de 74 ans. Très déçu par la révocation de l’Edit de Nantes, il pousse Vauban à publier en 1689 son mémoire pour le retour des Huguenots. A 35 ans, en 1667 il se met alors modestement au service des plus pauvres, avec les œuvres charitables des Lazaristes. Il continuera toutefois à inspirer Vauban dans ses réflexions et sa volonté de réformes au service du bien commun, notamment pour son fameux projet de la Dîme Royale. 💠 Sa bienveillance n’effacera pas sa fermeté, sa détermination et sa persévérance exemplaire. Selon la coutume, il s’attira l’estime universelle de personnes illustres par leur naissance, leur dignité ou leurs savoirs. En mai 1756, ses écrits avec notamment son fameux Trinitas disparaissent avec son iconographie 2 , quand la foudre embrase la bibliothèque de Guermantes, où ils étaient conservés. Heureusement sa modestie n’a pas éclipsé son testament spirituel, qui nous éclaire toujours. Il nous invite en bons thomistes, à demeurer dans l’unité entre l’action et la pensée. Il encourage la spontanéité et la clarté dans nos comportements. Comme Saint François d’Assise (1182-1226), il épouse Dame Pauvreté et célèbre la création. Sur le chemin, dans le soleil qui réchauffe son cœur, il marche infatigable, précurseur et apôtre d’une écologie intégrale. 💠 Mais son vrai souffle, il le trouve dans la communion de la vie trinitaire, qu’il résume ainsi : La trinité est le principe génial de l’unité dans l’échange d’amour, clé fondamentale de notre expérience spirituelle. - Le Père, Amour donné, - Le Fils, Amour reçu, - Le Saint-Esprit, Amour échangé. Apprendre à aimer, c’est apprendre à donner et à recevoir. Un Dieu en 3 personnes se comprend alors, car l’Amour n’additionne pas 1+1+1 = 3, mais il multiplie 1x1x1 = 1  Cette Trinité nous guide dans notre quête permanente de l’unité 3 , avec les hommes et aussi avec nous-même. 💠Son caractère se révèle aussi par le commentaire retrouvé à la bibliothèque Mazarine, décrivant sa statue 4 , dont la tête ressemble étonnement au fameux scribe égyptien : Un laïc pur et simple, qui marche en regardant le ciel, en s’appuyant sur le tau 5 . Son habit est très simple, cela lui suffit. Il n’a pas d’auréole ? Si, mais il ne la porte pas, c’est plus simple. Il apprivoise la colombe de la paix et tient un trèfle, parce qu’il aime parler de la Trinité. Trois lobes en une feuille, un Dieu en 3 personnes. Compliqué la Trinité, Oh non. Elle habite en lui et la joie remplit son âme. Sans Dieu dit-il, quelquefois il faut tout compliquer ! Avec Dieu, il ira loin, il a les pieds sur terre et les yeux au Ciel… Saint-Plifier était chevalier de l’ordre du Saint-Esprit. 6 💠La normalisation excessive et bureaucratique contemporaine, réveille sa mémoire et rend son message éminemment moderne. Nombreux sont ceux qui implorent son aide, pour rester fidèles au principe de cohérence, dans les choix de vie et l’acceptation des épreuves. 💠 Le miracle : son intercession permet la survie d’un entrepreneur accablé par une multitude de procédures, qui seront nonobstant toutes gagnées. C’est l’hallali et pour avoir un premier acompte, le trésorier payeur général programme, la vente de son appartement. Incroyable surprise, 15 jours avant l’exécution, le tribunal donne satisfaction au requérant et le Trésor Public vire en prime, au crédit de son compte un montant équivalent à celui réclamé ! L’entreprise est sauvée. #SaintPlifier #JeandeDieuPlifier #plifier
Lettre de Carole & Louis Fouché  - [Ecoutez cette lettre en entier] - Message de résistance et merci
04:21

Lettre de Carole & Louis Fouché - [Ecoutez cette lettre en entier] - Message de résistance et merci

👏👏👏 Bravo à Carole & Louis Fouché 👏👏👏 Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques. Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous. Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore. Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre. D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente... Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment. Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse. Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais. Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre. Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas. Nous ne voulons pas vivre masqués. Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres. Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus. Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront. Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés. Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles. Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ». Vous nous avez rassemblés. Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres. Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée. Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté. Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé. Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre. Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits. #LouisFouché
"Tous surveillés - 7 milliards de suspects !" - documentaire / reportage  complet - surveillance
01:29:27

"Tous surveillés - 7 milliards de suspects !" - documentaire / reportage complet - surveillance

Reportage complet sur la surveillance en France. N'hesitez pas à partager ! Merci aux abonnés ! __ « Comment allons-nous empêcher la création d’un État de surveillance ? » Les dérives sont pourtant déjà là. Dernier scandale en date, Clearview, une start-up américaine a, selon les révélations du New York Times en janvier dernier, conçu un logiciel de reconnaissance faciale grâce à des milliards de photos prélevées sur des réseaux sociaux à l’insu de leurs propriétaires, et a ensuite fourni cet outil à plusieurs services de police qui l’ont utilisé dans le cadre de leurs enquêtes. « Sans une loi fédérale très stricte sur la vie privée, nous sommes foutus », résumait un professeur de droit de Stanford. Le 16 mars dernier, l’ACLU, l’Union Américaine pour les Libertés Civiles, annonçait poursuivre le gouvernement américain en justice : elle le somme de s’expliquer sur le déploiement de la reconnaissance faciale dans les aéroports, et espère ainsi empêcher qu’elle ne serve de prélude à des méthodes de surveillance plus invasives. La Chine, première dictature numérique De l’autre côté de l’Océan Pacifique, en Chine, il faut remonter à 2008 pour dater la mise en place du vaste programme de surveillance technologique des citoyens - auquel nous consacrions le dossier de notre numéro 22 - qui atteint aujourd’hui un niveau inégalé : le documentaire offre des images glaçantes de la réalité du crédit social (système de notation généralisé) et du contrôle qu’il exerce sur la population, tandis que sont affichées dans les rues les photos des « modèles de moralité » ayant reçu les meilleures notes. « Il faut d’abord la paix et la stabilité, ensuite, on réfléchira aux droits de l’homme, assène face caméra l’un des théoriciens du crédit social. La France devrait vite adopter notre système pour régler ses mouvements sociaux ! » Enfin, le réalisateur s’introduit au Xinjiang, région de l’ouest de la Chine peuplée à 45 % par la communauté ouïghoure, turcophone, musulmane et persécutée par le gouvernement chinois, et offre des images aussi rares que terrifiantes du système de surveillance des Ouïghours, dont l’ADN est fiché, dont la vie est intégralement surveillée via des QR codes apposés sur les portes des appartements, et qui sont envoyés dans des camps de « rééducation » destinés à « briser leur identité », selon Human Rights Watch. Depuis 2016, selon les ONG, plus d’un million de Ouïghours seraient enfermés dans ces camps. Le documentaire était achevé avant que le monde ne doive affronter le Covid-19. Aujourd’hui, à l’heure où de plus en plus d’États ont recours aux technologies de surveillance pour endiguer l’épidémie, son appel à la vigilance redouble de pertinence. Se dirige-t-on vers un modèle de société paranoïaque ? Ce documentaire édifiant explore la folie sécuritaire et technologique qui semble avoir contaminé les autorités aux quatre coins du globe. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Caméras à reconnaissance faciale, détecteurs à émotions, système de notation des citoyens, drones tueurs autonomes… De la Chine aux États-Unis, d’Israël à la France, l’enquête nous entraîne dans les rouages de cette machine de surveillance mondiale et donne la parole aux premières victimes de ce flicage hors norme. Une obsession sécuritaire qui dans certains pays, est en train de donner naissance à une nouvelle forme de régime : le totalitarisme numérique. Le cauchemar d’Orwell. Il aura fallu cinquante ans pour que l’intelligence artificielle donne aux autorités un pouvoir jamais égalé : celui de tout voir, tout entendre, partout, tout le temps », prévient d’emblée une voix off peu rassurante. En 2020, au nom d’une sécurité érigée – à tort – en priorité face aux libertés, les États veulent tous se doter d’outils dernier cri pour détecter les émotions, prédire les crimes ou transformer nos visages en fonctions mathématiques. Réalisé par Sylvain Louvet, ce film rigoureux s’aventure évidemment en Chine, régime emblématique de la surveillance de masse : il décrypte le crédit social, version contemporaine d’une bureaucratie totalitaire qui ambitionne de noter tous les citoyens pour en faire des « citadins d’excellence » ; il se rend à Ouroumtsi, capitale du Xinjiang, région à majorité musulmane où capteurs, caméras et applications sont mis au service d’un génocide culturel perpétré contre la communauté ouïgoure. Crédit vidéo : ARTE (qui depuis à supprimé ce documentaire)

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